Partner
J’ai étudié la physique à l’Université d’Oxford. OC&C a été mon tout premier employeur !
Avant de rejoindre OC&C, j’avais prévu de faire un doctorat en physique, mais la période de découverte du doctorat l’été de ma troisième année m’a fait changer d’avis – mais je n’avais aucune idée de ce que je pouvais faire à la place ! Mon voisin à Oxford et moi avions l’habitude de cuisiner ensemble, mais un soir, nos placards étaient vides ; alors il a suggéré d’aller manger des petits fours dans une entreprise pour le dîner … qui se trouvait être OC&C ! J’ai mangé quelques petits fours supplémentaires au cours des semaines suivantes, mais les collaborateurs d’OC&C étaient les plus sympathiques et les plus intéressants que j’aie rencontrés, doncdès que j’ai reçu une offre, j’ai mis fin aux autres processus de recrutement dans lesquels j’étais engagé.
Mon parcours a été très linéaire. Je suis resté chez OC&C sans faire de pause pour un MBA, un détachement, une startup ou une introspection. Après cinq ans en tant que Partner, j’ai quitté Londres pour New York pour contribuer à la croissance de notre bureau aux États-Unis.
Mon conseil à toute personne souhaitant postuler est de ne pas partir du principe que nous ne nous intéresserons à votre candidature que si vous avez de l’expérience professionnelle dans une grande banque – nous sommes conscients que ce n’est pas accessible à tout le monde ; nous nous sommes intéressons tout autant à votre expérience dans un bar pour financer vos études.
Lors de l’entretien, détendez-vous et profitez-en. Vous saurez que vous avez réussi – et que vous correspondez bien à OC&C – si l’entretien s’est déroulé comme une conversation fructueuse.
Mon expérience de projet préférée est l’usine espagnole de sandwiches, où j’ai découvert pourquoi tous les sandwiches à l’œuf et au bacon donnent l’impression d’avoir une tranche d’œuf parfaite. Je vous conseille d’opter plutôt pour des produits frais !
En tant que Partner, l’impact le plus important se produit généralement à huis clos, en tête-à-tête avec le PDG, souvent après la fin du projet. Et c’est souvent très simple : il faut les aider à réaliser que leur focus doit changer pour les prochaines années. J’ai appris qu’il est loin d’être évident en tant que PDG de prendre de bonnes décisions pour son entreprise, et que c’est pour cette raison que nous sommes là.
En dehors des projets, je préside une organisation caritative britannique qui soutient 500 entrepreneurs sociaux chaque année, à investir en tant que business angel dans des startups, à changer des couches et à explorer les coins moins fréquentés des États-Unis.
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